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Catégorie : Attractivité

Groupes, musiciens, chanteurs, DJ…ce message s’adresse à vous !

Vous rêvez de vous produire à Évry Courcouronnes lors de la soirée de la Fête de la Musique, le vendredi 21 juin, de 18h à 21h ?

Envoyez votre candidature à fetedelamusique@evrycourcouronnes.fr avant le 17 mai 2024.

 

Conditions de participation :

• Être Évry-Courcouronnais ou avoir un lien avec la ville (au moins un membre du groupe)
• Nous envoyer un support ou lien pour écouter vos réalisations
• Être autonome en back-line
• Possibilité de défraiement

La Ville mettra gracieusement à votre disposition un pack sonorisation qui comprendra :
• 2 HP amplifiés + pieds
• 2 Retours amplifiés
• 1 Console de mixage 8 pistes
• 2 Micros voix Type SM58 + pieds
• 2 rallonges électriques
• 2 multiprises (5 prises chacune)
• 8XLR
• 1 jack/xlr

 

Ne manquez pas cette opportunité de briller lors de cet événement musical emblématique de la ville !

Catégorie : Attractivité

Vous habitez à Évry-Courcouronnes, vous y travaillez, vous venez vous y divertir et vous ignorez peut-être que vous vivez dans un environnement urbain unique ! Construite dans les années 1970, l’ex-Ville Nouvelle d’Évry a été un territoire d’exploration et d’innovation pour les architectes et les urbanistes.

Des spécialistes viennent même de l’étranger pour découvrir de leurs propres yeux notre territoire. En particulier, Évry-Courcouronnes compte 15 édifices ou ensembles labellisés Architecture contemporaine remarquable. Cet automne, la Ville vous invite à les (re)découvrir à travers une exposition sur l’espace public et un programme d’activités pour tous. Après cela, vous ne regarderez plus Évry-Courcouronnes comme avant.

Une exposition en centre-ville sur l’Architecture contemporaine remarquable

Du 5 octobre au 24 novembre, le centre-ville accueille une exposition sur l’Architecture contemporaine remarquable. Vous ne pourrez pas la manquer si vous passez du côté du cours Blaise Pascal. L’occasion de découvrir les édifices labellisés et leur histoire.

Plusieurs bâtiments labellisés se trouvent en centre-ville. Mais, vous le découvrirez, on en trouve également aux quatre coins de ville. Certains sont des ensembles imposants, à l’image des immeubles des Pyramides, quartier qui porte bien son nom. D’autres sont plus confidentiels comme l’ensemble de maisons rappelant des “cottages” anglais de la rue Henri Rochefort, dans le quartier des Épinettes.

Exposition réalisée par la Ville d’Évry-Courcouronnes en partenariat avec la DRAC Île-de-France, l’association Mémoire et Avenir de la Ville Nouvelle, et l’association CAAPP (Centre Art Architecture Paysage Patrimoine).

 

Balade en petit train à la découverte des édifices labellisés Architecture contemporaine remarquable

Balades animées par des guides, dans le cadre des Journées Nationales de l’Architecture.

Samedi 14 octobre, de 14h30 à 17h.

Départ devant le conservatoire Xenakis (9, cours Monseigneur Roméro)

Gratuit, dans la limite des places disponibles.

Sur inscription, par e-mail : geraldine.paul@evrycourcouronnes.fr

 

Visites commentées de l’exposition en centre-ville

Par l’Office de tourisme de Grand Paris Sud, dans le cadre du dispositif “Entre Midi & 2 – Booste ta pause déj'”.

Vendredi 13 octobre / Rendez-vous place des Droits de l’Homme et du Citoyen.

Départs à 12h45 et 13h15 / Durée 30 minutes.

Gratuit.

Autres dates :

Jeudi 26 octobre à 16h, 17h et 18h

Le samedi 11 novembre à 11h30, 14h et 15h

Le mardi 14 novembre à 11h30 et 12h30

Le jeudi 16 novembre à 11h30 et 12h30

Durée : 1h

Renseignements au 07 64 67 91 11 et visite.gps@gmail.com

Réservation obligatoire : https://tourisme-grandparissud.com/ rubrique « agenda »

 

Les édifices et ensembles labellisés Architecture contemporaine remarquable

 

La gare d’Évry-Courcouronnes

Mise en service en 1975 pour desservir la Ville Nouvelle, la gare d’Évry-Courcouronnes se distingue par son architecture, son aspect monumental et l’utilisation du métal en structure et son revêtement céramique dans la partie souterraine, qui font fait référence à l’architecture ferroviaire du XIXe siècle.

Architecte : Bernard HAMBURGER

 

Place des Droits de l’Homme et du Citoyen

L’ensemble, composé de l’Hôtel de Ville, de la cathédrale et de la Chambre de commerce et d’industrie est labellisé Architecture Contemporaine Remarquable. Il est repérable au premier coup d’œil par l’utilisation de la brique en revêtement des façades. L’impression d’unité est évidente mais chaque bâtiment est fortement différent et original dans sa forme.

Architectes :

Cathédrale: Mario BOTTA

Hôtel de Ville: Jacques LÉVY, Jean-Luc MÜLLER, Jean-Charles POISAV

Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Essonne : Martine et Philippe DES LANDES

Conception de la place : Kathryn GUSTAFSON

 

La Butte Creuse

Ce bâtiment met en scène un immeuble de logements collectifs qui, parce qu’il est percé d’un grand vide conteste la monumentalité des barres d’habitations du début des années 1960. Il mélange les hommages à l’architecture moderne et à l’architecture traditionnelle, allie le vocabulaire de l’immeuble avec celui de la maison de ville avec ses toits pentus en ardoise.

Architecte :

Pierre RIBOULET

 

La Cité administrative

L’ensemble formé par la Cité administrative (Préfecture et Conseil Départemental) et le Palais de Justice, constitue le noyau initial de l’urbanisation de la Ville nouvelle.

Regroupées autour d’une pièce d’eau, ces trois fonctions ont reçu un traitement architectural monumental manifestant un projet de société fort, d’esprit moderniste, tourné vers le progrès tel qu’on l’entendait à l’époque de la construction, à la fin des années 1960.

Architectes :

Guy LAGNEAU pour ATEA (Atelier d’études architecturales),

BUTKOVIC (architecte assistant)

 

La patinoire

La patinoire fait partie de l’ensemble Agora, conçu dans l’optique de dynamiser le centre de la Ville nouvelle, qui représente l’un des premiers exemples de conception alliant équipements publics et privés : équipements sportifs et commerciaux, culturels et de loisirs.

La structure apparente de la patinoire et son mode d’éclairage naturel en font un bon exemple de l’architecture du début des années 1970.

Architectes :

Jean LE COUTEUR

avec la collaboration de Gérard KHALIFA

 

Les Pyramides

Conçu par une équipe pluridisciplinaire, le projet des Pyramides remporte le concours international « Évry1 ». Les maquettes du projet ont été exposées au Grand Palais, à Paris, en 1972. Immédiatement saluées par de nombreuses publications, les Pyramides ont été perçues comme un modèle alternatif aux grands ensembles, explorant les possibilités des principes de l’immeuble à gradins.

Architectes :

Messieurs AUTRANT, GRUBER, MACARY, ZUBLENA, ANDRAULT, PARAT, CELNIK, SIRVIN, ROUSSET, LONGO, MOLLE

Paysagiste :

Mme BOZELLEC

 

La Cité artisanale

L’architecture expressionniste choisie renvoie au désordre maîtrisé des ensembles d’ateliers artisanaux tels qu’on les redécouvre alors dans les faubourgs parisiens dès le milieu des années 1970. L’originalité du concept d’Évry-Courcouronnes, dans le quartier des Champs-Elysées, tient principalement au fait que les logements des artisans sont partie prenante des ateliers et constituent une seule et unique entité.

Architectes :

Dominique BASTID

Patrice BAZAUD

Michel GRAVAYAT

 

Le groupe scolaire des Champs-Élysées

Le groupe scolaire révèle sa singularité dans ses matériaux et leurs modes de mise en œuvre. La maîtrise du travail manuel avec des matériaux industrialisés y est recherchée. En opposition avec les matériaux lisses, glacés et d’aspect impeccable, on trouve ici des blocs en ciment rugueux, du béton coulé en place, des planchers en poutrelles et des hourdis de ciment aux plafonds des classes, des bois vernis, des circuits électriques non cachés.

Architecte :

George MAURIOS

 

L’ensemble de logements des Champs-Élysées

La conception de l’ensemble de ces logements dans le quartier des Champs-Élysées par Bernard Kohn annonce le tournant pris plus tard par la Ville nouvelle d’Évry dans le domaine du logement collectif. L’architecte milite alors pour une architecture non monumentale et offre la possibilité de faire évoluer les espaces privatifs et de gagner de la surface, au gré de la volonté des habitants.

Architecte :

Bernard KOHN

 

L’école Jacques Cartier

L’école a été conçue par son architecte avec les conseils de l’Association pour l’Environnement Pédagogique et le concours de la Compagnie d’Etudes et d’Aménagement. Son plan est original par sa conception à aire ouverte, expérimentée notamment pour accompagner la mixité filles et garçons. La construction modulable du bâtiment vise, selon les termes de la circulaire Deygout de 1973, à « favoriser l’individualisation de l’enseignement, la pédagogie de soutien, le travail en équipe, le décloisonnement des classes et des disciplines, ainsi que l’ouverture sur le monde extérieur ».

Architecte :

François PRIEUR

 

La villa Charles Delescluze

L’ensemble illustre la volonté d’un retour à des formes urbaines traditionnelles, en opposition franche avec les Pyramides dans son fonctionnement. L’abondance de son ornementation, son pittoresque, voire sa fantaisie ont été soulignés par la critique contemporaine et la villa des Glycines peut être interprétée comme un essai bienvenu de recherche d’une convivialité sans prétention, en accord avec l’attente des habitants.

Architecte :

Alain SARFATI

 

L’ensemble de logements rue Henri Rochefort et allée Gustave Cluseret

Un ensemble de 34 maisons mitoyennes à l’aspect extérieur soigné. Les volets aux couleurs vives, la présence du végétal, l’utilisation de la brique, donnent un aspect presque villageois à l’ensemble, rappelant aussi les maisons ouvrières du Nord de la France, dont est originaire l’architecte. L’articulation entre le parking et la résidence est originale, l’accès de la maison se faisant directement par le garage situé dans les parties communes.

Architecte :

Jean-Pierre Watel

 

Logements du square Edouard Moreau dit « Les cottages »

Situés en bordure du parc des Coquibus, ces 20 maisons groupées ont été réalisées sans grands moyens, selon une combinaison de mêmes volumes agencés astucieusement. Les maisons possèdent un espace intérieur qui s’articule autour d’un puits de lumière central animé par des demi-niveaux. On remarque également le traitement des façades en brique avec des salles de bains en encorbellement signalées par l’emploi du bois.

Architecte :

Jean-Michel CHARUET

 

L’école Lapierre et la bibliothèque des Aunettes

Autant le groupe scolaire des Champs-Élysées lui aussi labellisé témoigne de la culture moderniste de son auteur et de son attrait pour le brutalisme, autant le groupe des Aunettes, auquel est joint une petite bibliothèque ouverte sur le quartier, est différent dans la recherche d’une architecture rassurante, aux formes évoquant une ambiance domestique. Rappelant l’enfance insouciante, préservée et à part de tout conflit sociétal.

Architecte :

Henri BARNOUD

 

La mosquée

Située dans le quartier du Canal, la mosquée d’Évry-Courcouronnes s’aperçoit de loin avec son grand minaret. Elle est l’une des plus grandes mosquées d’Europe et peut accueillir jusqu’à 5 000 fidèles. Le bâtiment présente une remarquable unité de conception et de construction, avec un parti architectural radical : bien que d’aspect extérieur plutôt austère avec de hauts murs aveugles, le bâtiment frappe le visiteur par la richesse des décorations intérieures.

Architecte :

Henri BAUDOT

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Évry-Courcouronnais et usagers de la Ville peuvent apercevoir depuis le 4 mai des rames du Tram T12 avancer à faible allure sur les voies ferrées reliant Épinay-sur-Orge à Évry-Courcouronnes. Ce sont les premiers essais du tout nouveau moyen de transport urbain. Ils ont pour objectif de s’assurer du bon fonctionnement du système de transmission électrique, des rails et des trains. Appelés à durer plusieurs mois, ces essais sont la dernière étape avant la mise en service tant attendue de cette nouvelle ligne prévue pour la fin 2023.

A l’heure où se déplacer au quotidien est un incontournable pour la grande majorité d’entre-nous – bien souvent une des conditions préalables pour trouver un emploi – l’arrivée du Tram T12 marque un nouveau départ pour notre territoire. Doté de plusieurs points d’intermodalité – cette nouvelle offre de transport assurera les correspondances entre les lignes B, C et D du RER, mais aussi la gare TGV de Massy-Palaiseau et la future ligne 18 du Grand Paris Express – et desservant pas moins de 12 villes, elle facilitera la mobilité de milliers d’Évry-Courcouronnais et plus largement d’Essonniens.

Par ailleurs, en permettant de relier des pôles économiques et culturels du département sans avoir à passer par Paris, le Tram T12 contribuera à renforcer le rôle de ville-capitale d’Évry-Courcouronnes, à la fois connectée et intégrée à un réseau, mais aussi faisant centralité. Aux côtés des grands projets de transformations urbaines, il revêt donc une importance majeure pour le futur de notre ville.

Ce Tram T 12 devrait, par ailleurs, favoriser le report des utilisateurs de voiture vers les transports en commun. Ce faisant, il permettra de réduire les émissions de gaz à effet de serre et contribuera ainsi à limiter la pollution atmosphérique. Aux côtés de l’offre de trottinettes et de vélos électriques, le Tram T12 devrait donc permettre de réduire de notre empreinte environnementale à l’échelle locale.

Exploitée par Île-de-France Mobilités, la ligne se composera de deux tronçons. Elle empruntera les voies de l’actuel RER C de Massy-Palaiseau à Épinay-sur-Orge, puis circulera sur de nouvelles voies aménagées en ville, entre Épinay-sur-Orge et Évry-Courcouronnes. Le montant total de cet investissement s’élève à 526 millions € cofinancés par la région Ile-de-France (56%), l’État (30%), le département (10%) et la SNCF (4%).

 

Les chiffres-clefs

Coût de l’infrastructure : 526 millions € (valeur 2011)

Coût des rames : 90 millions €

12 villes de l’Essonne desservies

16 stations dont 3 à Évry-Courcouronnes

100% des stations accessibles aux personnes à mobilité réduite

40 000 voyageurs quotidiens attendus

23 rames 100% électriques mises en service

250 voyageurs par rame

2 rames par circulation, soit 500 voyageurs par passage

1 nouveau site de maintenance et de remisage des rames

 

Pendant les essais, soyez vigilants

Les essais sur le tronçon Épinay-sur-Orge/Évry-Courcouronnes ainsi que la mise sous tension s’accompagnent de mesures de sécurité. Tout contact direct ou indirect avec les lignes à moyenne tension peuvent provoquer de blessures corporelles graves. Il est par ailleurs interdit de tenter de monter dans les rames. Un agent de proximité présent sur le terrain répond à toutes vos questions par téléphone ou mail.
Contact : Patrice au 06 47 07 97 34 ou sur contact@tram12-express.fr

 

+ d’infos : http://tram12-express.iledefrance-mobilites.fr/

Facebook : @Tram12expressMassyEvry

 

carte-tram-t12

Catégorie : Attractivité

Ville Capitale, Évry-Courcouronnes accueille sur son territoire le nouveau siège unifié de la Caisse d’Allocations Familiales (CAF) de l’Essonne. Dénommé Atlantis, le bâtiment a été inauguré, le 13 avril dernier, en présence de nombreuses personnalités (photo) parmi lesquelles son directeur général Guillaume Lacroix ; la présidente du Conseil d’administration de la CAF de l’Essonne, Elisabeth Reygades ; le préfet de l’Essonne, Bertrand Gaume ; le président de l’agglomération Grand Paris Sud (GPS), Michel Bisson ; le vice-présidente du Conseil départemental de l’Essonne, Dany Boyer ainsi que Danielle Valéro, 1ère adjointe au Maire d’Évry-Courcouronnes, Stéphane Beaudet.

Ce nouveau siège se situe dans le quartier du Bois Briard, non loin du Lac. Il rassemble 450 agents. La nouveauté réside dans l’amélioration significative de l’accueil des allocataires. La capacité a été doublée par rapport à celle des deux anciens sites situés au centre d’Évry-Courcouronnes et dans la ville d’Arpajon. L’unification des deux anciens sièges permet une plus grande rationalisation des coûts tout en offrant de meilleures conditions aux allocataires. Ces derniers sont désormais accueillis dans un espace de 450 m2 offrant tous les dispositifs d’aide à la recherche d’un emploi (informatique, bureautique, aide de conseillers etc.).

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La démolition du bâtiment de la Poste (au fond sur la photo) permettra de libérer de l’espace pour aménager une nouvelle place de centre-ville, dans le prolongement du Cours Blaise Pascal.

 

Par délibération en date du 27 septembre 2022, la Communauté d’Agglomération Grand Paris Sud Essonne Sénart a pris l’initiative d’organiser une concertation sur le projet du centre urbain d’Evry-Courcouronnes. L’Agglomération portant, avec la Ville et la Société publique locale d’aménagement d’intérêt national (SPLA IN) Grand Paris Sud Aménagement, un ambitieux projet de réaménagement urbain pour le centre-ville.

Cette nouvelle concertation vient en complément et dans la continuité des actions menées en 2020 et 2021, via Internet et lors d’échanges avec les habitants et usagers sur l’espace public.

 

La concertation publique se déroulera du 28 novembre 2022 au 7 février 2023

L’objectif est notamment d’informer le public sur le projet, particulièrement sur la partie « Agora-Terrasses-Mazières ». Sur ce secteur, entre autres travaux,  il est prévu de démolir le bâtiment de la Poste et d’aménager une nouvelle place de centre-ville, au niveau de la rue, dans le prolongement du cours Blaise Pascal.

La concertation vise à élaborer et enrichir le projet urbain en prenant en compte les observations du public.

 

Les modalités de la concertation

Réunions publiques, stands d’information et ateliers de coconstruction rythmeront ces semaines de concertation, jusqu’au 7 février 2023.

Le dossier de présentation du projet, ainsi qu’un registre recueillant les observations, remarques et contributions du public sont disponibles à l’Hôtel de Ville et au siège de l’Agglomération, à Évry-Courcouronnes.

 

Consulter le dossier d’information du projet du centre urbain d’Évry-Courcouronnes 

Questionnaire en ligne : donner votre avis

Consulter l’avis de concertation du public

 

L’agenda de la concertation

Dossier de présentation et registre disponibles à l’hôtel de Ville (place des Droits de l’Homme et du Citoyen) et à la Communauté d’agglomération Grand Paris Sud (500 place des Champs-Élysées)

De 11h30 à 14h
Devant la bibliothèque universitaire (allée Toussaint Louverture)

De 12 h à 14 h

Départ au 27, cours Blaise Pascal.

Sur inscription

De 12h30 à 14h30

De 19h à 20h30 à l’hôtel de ville (4e étage)

Sur inscription

De 10h à 12h

Centre commercial Evry 2

De 11h à 13h

Place des Terrasses de l’Agora

De 16h30 à 19h

Parvis de la Gare RER Evry-Courcouronnes (sortie place des Droits de l’Homme et du Citoyen)

De 14h à 16h30

Centre commercial Evry 2

De 19h à 20h30 à l’hôtel de ville (4e étage)

Sur inscription

Salle du Conseil et des Mariages de l’hôtel de ville.

Horaire en attente

 

Pensez à vous inscrire à la balade urbaine et aux ateliers :

contact@revelonsnotrecentreville.fr

Tel : 06 15 76 21 30

 

Plus d’infos sur le projet de réaménagement urbain du centre-ville sur le site Revelonsnotrecentreville.fr

 

 

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Alors que le film Athena réalisé par Romain Gavras et co-écrit par Ladj Ly (Les Misérables) sort, le 23 septembre, sur Netflix, c’est tout un quartier d’Évry-Courcouronnes qui se souvient de la formidable aventure vécue, à l’été 2021, lorsque l’équipe du film a investi le Parc aux Lièvres pour y tourner l’essentiel de ce long-métrage événement.

De hauts immeubles répartis autour d’une dalle, qui elle-même domine la rue en contrebas, le décor du film Athena est planté. La dalle du Parc aux Lièvres, telle un château fort des temps modernes est donc l’environnement principal du dernier long-métrage de Romain Gavras. Le réalisateur a profité du fait que le site était déjà vidé de la plupart de ses habitants pour y tourner son film. En effet, le quartier fait l’objet d’un important programme de rénovation urbaine qui comprend la démolition de la dalle et de plusieurs immeubles attenants, et dont les travaux démarrent en 2023.

 Interview de Romain Gavras, réalisateur du film Athena

Romain Gavras posing in Venice during the Venice Film Festival 79 in September 2022

 

« Il y a eu beaucoup d’amour derrière la caméra, même si devant la caméra on faisait la guerre. »

Pourquoi était-ce important d’organiser la première projection du film Athena en France à Évry-Courcouronnes ?

Romain Gavras : « Après Venise où a eu lieu la première projection internationale, c’était important pour nous de venir remercier les gens du quartier du parc aux Lièvres, d’Évry-Courcouronnes et de la Mairie, en faisant cette première projection en France.

L’équipe du film est restée plusieurs mois dans ce quartier d’Évry-Courcouronnes. Comment avez-vous été accueillis par les habitants ?

Romain Gavras : On est resté quatre ou cinq mois dans le quartier car il y a d’abord eu beaucoup de préparations avant le tournage qui s’est déroulé l’été 2021. On a répété pendant deux mois, tourné pendant 52 jours et on a beaucoup préparé le film avant les répétitions. En fait, on s’est installé dans le quartier environ d’avril à octobre. Ce n’est pas courant pour un tournage. Mais, j’aime beaucoup préparer mes tournages et ce film nécessitait, par sa grammaire visuelle, beaucoup de préparations parce que ce sont des longs plans très orchestrés. Il fallait aussi être sur place, pour être avec les habitants, expliquer à tout le monde ce qu’on allait faire et recruter un grand nombre de personnes dans le quartier pour de la figuration, des petits rôles, des personnes à la décoration, à la régie, à la sécurité et un peu partout. On a fait le casting sur place en même temps qu’on préparait le tournage. On a vraiment investi le quartier. Le local caméras était dans l’ancienne boulangerie, le local VFX (Ndlr : effets spéciaux) dans l’ancienne agence ANPE, on a investi le quartier un peu comme un studio de cinéma.

Est-ce qu’il y a un intérêt à travailler comme cela, dans la durée avec les habitants d’une ville et d’un quartier ?

Romain Gavras : Je pense que oui. D’abord, il faut le dire, quand on fait un tournage il y a beaucoup de nuisances. C’est éprouvant pour les gens qui habitent là donc il faut que tout le monde soit d’accord et main dans la main avec nous. C’était aussi important pour nous de travailler avec les personnes qui vivent ici. On avait vu pas mal de décors de cités vides en France, mais cela ne m’intéressait pas parce qu’il n’y avait aucune vie sur laquelle s’appuyer. Ce n’était vraiment pas l’idée pour ce film.

Vous semblez garder un excellent souvenir de ce tournage ?

Romain Gavras : Je garde un excellent souvenir, c’est vrai. Dabord, Monsieur le Maire a accepté qu’on tourne ici. Il faut le dire, c’est beaucoup plus facile de refuser un tournage comme celui-là, quand on reçoit le script qui peut être très « casse-gueule » pour une mairie et des élus. Accepter, c’était courageux. Et, je garde un très bon souvenir de l’aventure humaine qu’on a vécue avec les habitants et avec l’équipe du film. Derrière la caméra, entre l’équipe, les habitants, la Mairie, il y a eu beaucoup d’amour. On est restés très longtemps ensemble. Des liens d’amitié se sont créés avec certaines personnes. Donc je dirais qu’il y a eu beaucoup d’amour derrière la caméra, même si devant la caméra on faisait la guerre.

Est-ce que vous pensez avoir susciter des vocations pour les métiers du cinéma ?

Romain Gavras : Je le dis parfois un peu rigolant, mais c’est vrai que nous avons formé énormément de monde. À la fin du tournage, tout le monde était très éduqué à la manière de tourner un film, de la figuration aux régisseurs qui vont bloquer les accès au site de tournage, à toute l’infrastructure que peut représenter un tournage.

Était-ce le décor idéal pour le film Athena ?

Romain Gavras : C’était le décor idéal pour ce film, mais au-delà de cet aspect important,  il est assez rare qu’il y ait une expérience humaine aussi intense. Je sais que toute l’équipe va garder un excellent souvenir de ce tournage.

 

4 500 cachets d’acteurs et de figurants

C’est tout le quartier du Parc aux Lièvres qui s’est animé avec ce film. Certains jours, jusqu’à 400 acteurs, figurants et techniciens étaient présents. Le tournage s’est déroulé de juillet à septembre 2021, et c’est sans compter les répétitions, les repérages et autres préparatifs qui ont commencé dès le printemps. Pendant plusieurs mois, la dalle du Parc aux Lièvres a ainsi vécu à l’heure du cinéma. Les habitants du quartier et plus largement d’Évry-Courcouronnes ont été (très) nombreux à prendre part à l’aventure du film. Environ 4 500 cachets d’acteurs et de figurants ont été recrutés quasi-exclusivement dans la ville, via les Maisons de quartier notamment.

Derrière la caméra, aussi, les habitants ont été très impliqués. Il faut dire qu’il n’est pas si habituel d’investir, quotidiennement et pendant une période aussi longue, un quartier pour les besoins d’un tournage. En régie, à la sécurité, au décor, entre autres, les besoins étaient importants et la société de production (Iconoclast) a pu s’appuyer sur les ressources locales. Les habitants ont découvert de nombreux métiers et des vocations sont nées pour certains.

Des retombées positives sur l’économie locale

Le tournage du film Athena a également eu un impact positif sur le plan économique. Traiteur, boulangerie, pharmacie, chauffeurs VTC… Les retombées directes et indirectes sur l’économie locale sont nombreuses et parfois inattendues – estimées à près de 1,5 million d’euros.

Avant de connaître de grandes transformations, le quartier du Parc aux Lièvres a ainsi partagé une aventure unique. Un été 2021 qui restera dans la mémoire et l’histoire de ce quartier historique de la Ville nouvelle d’Évry. Pour le meilleur et, disons-le, parfois pour le « moins agréable » lorsqu’il s’agit des nuisances générées par le tournage. Ceux qui ont vu Athena mesurent l’ampleur de ce qui s’est joué sur cette dalle du Parc aux Lièvres.

Une projection privée pour remercier les habitants

Le Parc aux Lièvres, c’est un peu le héros discret d’Athena. Et, c’est sans doute la raison pour laquelle Romain Gavras et son équipe ont réservé la première projection du film en France aux Évry-Courcouronnais. Une projection privée qui s’est déroulée, le 6 septembre, au CGR, et à laquelle étaient conviés toutes celles et ceux qui ont contribué, de près ou de loin, au tournage du film. Une façon de remercier les habitants pour leur participation et leur accueil salué de tous.

L’équipe du film se souvient… Témoignages

Interviews réalisées lors de la projection privée du 6 septembre, à Évry-Courcouronnes

Ladj Ly, co-scénariste du film Athena
Dali Benssalah, comédien dans le rôle d’Abdel
Ouassini Embarek, comédien dans le rôle de Mokhtar
Alexis Manenti, comédien dans le rôle de Sébastien

Making of du film en réalité virtuelle

Réalisé par Florian Kuenemann du collectif BKE Coop

Diffusion en exclusivité à Évry-Courcouronnes à l’aide de casques VR (réalité virtuelle)

Installée sur le quartier du Parc aux Lièvres depuis quinze ans, la société de production BKE a obtenu un accès privilégié au tournage et propose aujourd’hui la découverte en exclusivité, à Évry-Courcouronnes, de son making of VR. D’une durée de 13 minutes, il emmène le spectateur à 360° au cœur du tournage. L’occasion de se plonger en immersion au milieu du plateau, pendant que se tournent quelques-unes des scènes les plus iconiques du film. Le making of vous propose également des témoignages de Romain Gavras, de son assistant-réalisateur et de nombreux habitants de la ville qui ont participé au tournage.

 

À la Micro-Folie (Centre commercial Evry2)

  • Avant-première

Vendredi 30 septembre, de 16h à 19h

 

  • Diffusion du making of en accès libre , sans réservation

Du 3 au 8 octobre, aux horaires d’ouverture

 

À bord du VR Bus piloté par BKE Coop et Culture 360

 

  • Devant la Maison de quartier des Champs Elysées (Place Troisdorf)

Mardi 4 octobre, de 16h30 à 18h30

 

  • Place des Droits de l’Homme et du Citoyen

Jeudi 6 octobre, de 12h à 14h

 

  • Devant la Maison des Services Publics Gisèle Halimi (rue George Sand)

Jeudi 6 octobre, de 16h30 à 18h30

 

  • Devant la Maison de quartier Evry-Village (place Général De Gaulle)

Vendredi 7 octobre, de 16h30 à 18h30

Photos du tournage, été 2021, quartier du Parc aux Lièvres

Copyright : Netflix

Catégorie : Attractivité

Filme l’avenir
En 90 secondes fais entendre ta voix !

Filme l’Avenir est un dispositif d’ateliers cinéma pour tous à partir de 15 ans, mis en place par l’Association Les Ami(e)s du Comedy Club présidée par Jamel Debbouze, et organisé dans le cadre de l’Été Culturel avec le ministère de la Culture, en partenariat avec France Télévisions, le ministère de la Ville, l’Agence Nationale de la Cohésion des Territoires (ANCT) et le Festival Cinébanlieue.

Un thème : « Joue-la collectif » et 90 secondes pour faire passer son message en vidéo avec un mobile : voilà le principe de Filme l’Avenir (#FLA) pour permettre aux jeunes et aux associations de terrain de faire entendre leurs voix afin de promouvoir un monde plus solidaire.

Les participants seront accompagnés par des réalisatrices et réalisateurs professionnels dans la réalisation de leurs films, qui seront diffusés sur France TV Slash et soumis directement au concours Filme l’Avenir.

À cette occasion, les 24 et 25 août 2022, des ateliers cinéma seront organisés à Évry-Courcouronnes pour les plus de 15 ans intéressés par l’audiovisuel avec le tutorat de réalisateur-trice-s professionnel-le-s.

Pour participer, inscrivez-vous sur : https://filmelavenir.fr 

 

L’objectif ?

Découvrir les talents de demain, professionnaliser les jeunes éloignés des cursus artistiques classiques en les sensibilisant aux différents métiers du cinéma. Les guider et les orienter à travers un projet concret et leur permettre de voir leurs films diffusés sur France TV Slash et bientôt France 3. Renouveler les genres, les narrations et les modèles connus à travers ce projet innovant.

Plus d’informations sur :

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Jamel Debbouze lance la 3ème édition de Filme l’Avenir !