Vous habitez à Évry-Courcouronnes, vous y travaillez, vous venez vous y divertir et vous ignorez peut-être que vous vivez dans un environnement urbain unique ! Construite dans les années 1970, l’ex-Ville Nouvelle d’Évry a été un territoire d’exploration et d’innovation pour les architectes et les urbanistes.
Des spécialistes viennent même de l’étranger pour découvrir de leurs propres yeux notre territoire. En particulier, Évry-Courcouronnes compte 15 édifices ou ensembles labellisés Architecture contemporaine remarquable. Cet automne, la Ville vous invite à les (re)découvrir à travers une exposition sur l’espace public et un programme d’activités pour tous. Après cela, vous ne regarderez plus Évry-Courcouronnes comme avant.
Du 5 octobre au 24 novembre, le centre-ville accueille une exposition sur l’Architecture contemporaine remarquable. Vous ne pourrez pas la manquer si vous passez du côté du cours Blaise Pascal. L’occasion de découvrir les édifices labellisés et leur histoire.
Plusieurs bâtiments labellisés se trouvent en centre-ville. Mais, vous le découvrirez, on en trouve également aux quatre coins de ville. Certains sont des ensembles imposants, à l’image des immeubles des Pyramides, quartier qui porte bien son nom. D’autres sont plus confidentiels comme l’ensemble de maisons rappelant des “cottages” anglais de la rue Henri Rochefort, dans le quartier des Épinettes.
Exposition réalisée par la Ville d’Évry-Courcouronnes en partenariat avec la DRAC Île-de-France, l’association Mémoire et Avenir de la Ville Nouvelle, et l’association CAAPP (Centre Art Architecture Paysage Patrimoine).
Balades animées par des guides, dans le cadre des Journées Nationales de l’Architecture.
Samedi 14 octobre, de 14h30 à 17h.
Départ devant le conservatoire Xenakis (9, cours Monseigneur Roméro)
Gratuit, dans la limite des places disponibles.
Sur inscription, par e-mail : geraldine.paul@evrycourcouronnes.fr
Par l’Office de tourisme de Grand Paris Sud, dans le cadre du dispositif “Entre Midi & 2 – Booste ta pause déj'”.
Vendredi 13 octobre / Rendez-vous place des Droits de l’Homme et du Citoyen.
Départs à 12h45 et 13h15 / Durée 30 minutes.
Gratuit.
Jeudi 26 octobre à 16h, 17h et 18h
Le samedi 11 novembre à 11h30, 14h et 15h
Le mardi 14 novembre à 11h30 et 12h30
Le jeudi 16 novembre à 11h30 et 12h30
Durée : 1h
Renseignements au 07 64 67 91 11 et visite.gps@gmail.com
Réservation obligatoire : https://tourisme-grandparissud.com/ rubrique « agenda »
Mise en service en 1975 pour desservir la Ville Nouvelle, la gare d’Évry-Courcouronnes se distingue par son architecture, son aspect monumental et l’utilisation du métal en structure et son revêtement céramique dans la partie souterraine, qui font fait référence à l’architecture ferroviaire du XIXe siècle.
Architecte : Bernard HAMBURGER
L’ensemble, composé de l’Hôtel de Ville, de la cathédrale et de la Chambre de commerce et d’industrie est labellisé Architecture Contemporaine Remarquable. Il est repérable au premier coup d’œil par l’utilisation de la brique en revêtement des façades. L’impression d’unité est évidente mais chaque bâtiment est fortement différent et original dans sa forme.
Architectes :
Cathédrale: Mario BOTTA
Hôtel de Ville: Jacques LÉVY, Jean-Luc MÜLLER, Jean-Charles POISAV
Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Essonne : Martine et Philippe DES LANDES
Conception de la place : Kathryn GUSTAFSON
Ce bâtiment met en scène un immeuble de logements collectifs qui, parce qu’il est percé d’un grand vide conteste la monumentalité des barres d’habitations du début des années 1960. Il mélange les hommages à l’architecture moderne et à l’architecture traditionnelle, allie le vocabulaire de l’immeuble avec celui de la maison de ville avec ses toits pentus en ardoise.
Architecte :
Pierre RIBOULET
L’ensemble formé par la Cité administrative (Préfecture et Conseil Départemental) et le Palais de Justice, constitue le noyau initial de l’urbanisation de la Ville nouvelle.
Regroupées autour d’une pièce d’eau, ces trois fonctions ont reçu un traitement architectural monumental manifestant un projet de société fort, d’esprit moderniste, tourné vers le progrès tel qu’on l’entendait à l’époque de la construction, à la fin des années 1960.
Architectes :
Guy LAGNEAU pour ATEA (Atelier d’études architecturales),
BUTKOVIC (architecte assistant)
La patinoire fait partie de l’ensemble Agora, conçu dans l’optique de dynamiser le centre de la Ville nouvelle, qui représente l’un des premiers exemples de conception alliant équipements publics et privés : équipements sportifs et commerciaux, culturels et de loisirs.
La structure apparente de la patinoire et son mode d’éclairage naturel en font un bon exemple de l’architecture du début des années 1970.
Architectes :
Jean LE COUTEUR
avec la collaboration de Gérard KHALIFA
Conçu par une équipe pluridisciplinaire, le projet des Pyramides remporte le concours international « Évry1 ». Les maquettes du projet ont été exposées au Grand Palais, à Paris, en 1972. Immédiatement saluées par de nombreuses publications, les Pyramides ont été perçues comme un modèle alternatif aux grands ensembles, explorant les possibilités des principes de l’immeuble à gradins.
Architectes :
Messieurs AUTRANT, GRUBER, MACARY, ZUBLENA, ANDRAULT, PARAT, CELNIK, SIRVIN, ROUSSET, LONGO, MOLLE
Paysagiste :
Mme BOZELLEC
L’architecture expressionniste choisie renvoie au désordre maîtrisé des ensembles d’ateliers artisanaux tels qu’on les redécouvre alors dans les faubourgs parisiens dès le milieu des années 1970. L’originalité du concept d’Évry-Courcouronnes, dans le quartier des Champs-Elysées, tient principalement au fait que les logements des artisans sont partie prenante des ateliers et constituent une seule et unique entité.
Architectes :
Dominique BASTID
Patrice BAZAUD
Michel GRAVAYAT
Le groupe scolaire révèle sa singularité dans ses matériaux et leurs modes de mise en œuvre. La maîtrise du travail manuel avec des matériaux industrialisés y est recherchée. En opposition avec les matériaux lisses, glacés et d’aspect impeccable, on trouve ici des blocs en ciment rugueux, du béton coulé en place, des planchers en poutrelles et des hourdis de ciment aux plafonds des classes, des bois vernis, des circuits électriques non cachés.
Architecte :
George MAURIOS
La conception de l’ensemble de ces logements dans le quartier des Champs-Élysées par Bernard Kohn annonce le tournant pris plus tard par la Ville nouvelle d’Évry dans le domaine du logement collectif. L’architecte milite alors pour une architecture non monumentale et offre la possibilité de faire évoluer les espaces privatifs et de gagner de la surface, au gré de la volonté des habitants.
Architecte :
Bernard KOHN
L’école a été conçue par son architecte avec les conseils de l’Association pour l’Environnement Pédagogique et le concours de la Compagnie d’Etudes et d’Aménagement. Son plan est original par sa conception à aire ouverte, expérimentée notamment pour accompagner la mixité filles et garçons. La construction modulable du bâtiment vise, selon les termes de la circulaire Deygout de 1973, à « favoriser l’individualisation de l’enseignement, la pédagogie de soutien, le travail en équipe, le décloisonnement des classes et des disciplines, ainsi que l’ouverture sur le monde extérieur ».
Architecte :
François PRIEUR
L’ensemble illustre la volonté d’un retour à des formes urbaines traditionnelles, en opposition franche avec les Pyramides dans son fonctionnement. L’abondance de son ornementation, son pittoresque, voire sa fantaisie ont été soulignés par la critique contemporaine et la villa des Glycines peut être interprétée comme un essai bienvenu de recherche d’une convivialité sans prétention, en accord avec l’attente des habitants.
Architecte :
Alain SARFATI
Un ensemble de 34 maisons mitoyennes à l’aspect extérieur soigné. Les volets aux couleurs vives, la présence du végétal, l’utilisation de la brique, donnent un aspect presque villageois à l’ensemble, rappelant aussi les maisons ouvrières du Nord de la France, dont est originaire l’architecte. L’articulation entre le parking et la résidence est originale, l’accès de la maison se faisant directement par le garage situé dans les parties communes.
Architecte :
Jean-Pierre Watel
Situés en bordure du parc des Coquibus, ces 20 maisons groupées ont été réalisées sans grands moyens, selon une combinaison de mêmes volumes agencés astucieusement. Les maisons possèdent un espace intérieur qui s’articule autour d’un puits de lumière central animé par des demi-niveaux. On remarque également le traitement des façades en brique avec des salles de bains en encorbellement signalées par l’emploi du bois.
Architecte :
Jean-Michel CHARUET
Autant le groupe scolaire des Champs-Élysées lui aussi labellisé témoigne de la culture moderniste de son auteur et de son attrait pour le brutalisme, autant le groupe des Aunettes, auquel est joint une petite bibliothèque ouverte sur le quartier, est différent dans la recherche d’une architecture rassurante, aux formes évoquant une ambiance domestique. Rappelant l’enfance insouciante, préservée et à part de tout conflit sociétal.
Architecte :
Henri BARNOUD
Située dans le quartier du Canal, la mosquée d’Évry-Courcouronnes s’aperçoit de loin avec son grand minaret. Elle est l’une des plus grandes mosquées d’Europe et peut accueillir jusqu’à 5 000 fidèles. Le bâtiment présente une remarquable unité de conception et de construction, avec un parti architectural radical : bien que d’aspect extérieur plutôt austère avec de hauts murs aveugles, le bâtiment frappe le visiteur par la richesse des décorations intérieures.
Architecte :
Henri BAUDOT
Alors que le film Athena réalisé par Romain Gavras et co-écrit par Ladj Ly (Les Misérables) sort, le 23 septembre, sur Netflix, c’est tout un quartier d’Évry-Courcouronnes qui se souvient de la formidable aventure vécue, à l’été 2021, lorsque l’équipe du film a investi le Parc aux Lièvres pour y tourner l’essentiel de ce long-métrage événement.
De hauts immeubles répartis autour d’une dalle, qui elle-même domine la rue en contrebas, le décor du film Athena est planté. La dalle du Parc aux Lièvres, telle un château fort des temps modernes est donc l’environnement principal du dernier long-métrage de Romain Gavras. Le réalisateur a profité du fait que le site était déjà vidé de la plupart de ses habitants pour y tourner son film. En effet, le quartier fait l’objet d’un important programme de rénovation urbaine qui comprend la démolition de la dalle et de plusieurs immeubles attenants, et dont les travaux démarrent en 2023.
Interview de Romain Gavras, réalisateur du film Athena
« Il y a eu beaucoup d’amour derrière la caméra, même si devant la caméra on faisait la guerre. »
Romain Gavras : « Après Venise où a eu lieu la première projection internationale, c’était important pour nous de venir remercier les gens du quartier du parc aux Lièvres, d’Évry-Courcouronnes et de la Mairie, en faisant cette première projection en France.
Romain Gavras : On est resté quatre ou cinq mois dans le quartier car il y a d’abord eu beaucoup de préparations avant le tournage qui s’est déroulé l’été 2021. On a répété pendant deux mois, tourné pendant 52 jours et on a beaucoup préparé le film avant les répétitions. En fait, on s’est installé dans le quartier environ d’avril à octobre. Ce n’est pas courant pour un tournage. Mais, j’aime beaucoup préparer mes tournages et ce film nécessitait, par sa grammaire visuelle, beaucoup de préparations parce que ce sont des longs plans très orchestrés. Il fallait aussi être sur place, pour être avec les habitants, expliquer à tout le monde ce qu’on allait faire et recruter un grand nombre de personnes dans le quartier pour de la figuration, des petits rôles, des personnes à la décoration, à la régie, à la sécurité et un peu partout. On a fait le casting sur place en même temps qu’on préparait le tournage. On a vraiment investi le quartier. Le local caméras était dans l’ancienne boulangerie, le local VFX (Ndlr : effets spéciaux) dans l’ancienne agence ANPE, on a investi le quartier un peu comme un studio de cinéma.
Romain Gavras : Je pense que oui. D’abord, il faut le dire, quand on fait un tournage il y a beaucoup de nuisances. C’est éprouvant pour les gens qui habitent là donc il faut que tout le monde soit d’accord et main dans la main avec nous. C’était aussi important pour nous de travailler avec les personnes qui vivent ici. On avait vu pas mal de décors de cités vides en France, mais cela ne m’intéressait pas parce qu’il n’y avait aucune vie sur laquelle s’appuyer. Ce n’était vraiment pas l’idée pour ce film.
Romain Gavras : Je garde un excellent souvenir, c’est vrai. Dabord, Monsieur le Maire a accepté qu’on tourne ici. Il faut le dire, c’est beaucoup plus facile de refuser un tournage comme celui-là, quand on reçoit le script qui peut être très « casse-gueule » pour une mairie et des élus. Accepter, c’était courageux. Et, je garde un très bon souvenir de l’aventure humaine qu’on a vécue avec les habitants et avec l’équipe du film. Derrière la caméra, entre l’équipe, les habitants, la Mairie, il y a eu beaucoup d’amour. On est restés très longtemps ensemble. Des liens d’amitié se sont créés avec certaines personnes. Donc je dirais qu’il y a eu beaucoup d’amour derrière la caméra, même si devant la caméra on faisait la guerre.
Romain Gavras : Je le dis parfois un peu rigolant, mais c’est vrai que nous avons formé énormément de monde. À la fin du tournage, tout le monde était très éduqué à la manière de tourner un film, de la figuration aux régisseurs qui vont bloquer les accès au site de tournage, à toute l’infrastructure que peut représenter un tournage.
Romain Gavras : C’était le décor idéal pour ce film, mais au-delà de cet aspect important, il est assez rare qu’il y ait une expérience humaine aussi intense. Je sais que toute l’équipe va garder un excellent souvenir de ce tournage.
C’est tout le quartier du Parc aux Lièvres qui s’est animé avec ce film. Certains jours, jusqu’à 400 acteurs, figurants et techniciens étaient présents. Le tournage s’est déroulé de juillet à septembre 2021, et c’est sans compter les répétitions, les repérages et autres préparatifs qui ont commencé dès le printemps. Pendant plusieurs mois, la dalle du Parc aux Lièvres a ainsi vécu à l’heure du cinéma. Les habitants du quartier et plus largement d’Évry-Courcouronnes ont été (très) nombreux à prendre part à l’aventure du film. Environ 4 500 cachets d’acteurs et de figurants ont été recrutés quasi-exclusivement dans la ville, via les Maisons de quartier notamment.
Derrière la caméra, aussi, les habitants ont été très impliqués. Il faut dire qu’il n’est pas si habituel d’investir, quotidiennement et pendant une période aussi longue, un quartier pour les besoins d’un tournage. En régie, à la sécurité, au décor, entre autres, les besoins étaient importants et la société de production (Iconoclast) a pu s’appuyer sur les ressources locales. Les habitants ont découvert de nombreux métiers et des vocations sont nées pour certains.
Le tournage du film Athena a également eu un impact positif sur le plan économique. Traiteur, boulangerie, pharmacie, chauffeurs VTC… Les retombées directes et indirectes sur l’économie locale sont nombreuses et parfois inattendues – estimées à près de 1,5 million d’euros.
Avant de connaître de grandes transformations, le quartier du Parc aux Lièvres a ainsi partagé une aventure unique. Un été 2021 qui restera dans la mémoire et l’histoire de ce quartier historique de la Ville nouvelle d’Évry. Pour le meilleur et, disons-le, parfois pour le « moins agréable » lorsqu’il s’agit des nuisances générées par le tournage. Ceux qui ont vu Athena mesurent l’ampleur de ce qui s’est joué sur cette dalle du Parc aux Lièvres.
Le Parc aux Lièvres, c’est un peu le héros discret d’Athena. Et, c’est sans doute la raison pour laquelle Romain Gavras et son équipe ont réservé la première projection du film en France aux Évry-Courcouronnais. Une projection privée qui s’est déroulée, le 6 septembre, au CGR, et à laquelle étaient conviés toutes celles et ceux qui ont contribué, de près ou de loin, au tournage du film. Une façon de remercier les habitants pour leur participation et leur accueil salué de tous.
Interviews réalisées lors de la projection privée du 6 septembre, à Évry-Courcouronnes
Ladj Ly, co-scénariste du film Athena
Dali Benssalah, comédien dans le rôle d’Abdel
Ouassini Embarek, comédien dans le rôle de Mokhtar
Alexis Manenti, comédien dans le rôle de Sébastien
Réalisé par Florian Kuenemann du collectif BKE Coop
Diffusion en exclusivité à Évry-Courcouronnes à l’aide de casques VR (réalité virtuelle)
Installée sur le quartier du Parc aux Lièvres depuis quinze ans, la société de production BKE a obtenu un accès privilégié au tournage et propose aujourd’hui la découverte en exclusivité, à Évry-Courcouronnes, de son making of VR. D’une durée de 13 minutes, il emmène le spectateur à 360° au cœur du tournage. L’occasion de se plonger en immersion au milieu du plateau, pendant que se tournent quelques-unes des scènes les plus iconiques du film. Le making of vous propose également des témoignages de Romain Gavras, de son assistant-réalisateur et de nombreux habitants de la ville qui ont participé au tournage.
Vendredi 30 septembre, de 16h à 19h
Du 3 au 8 octobre, aux horaires d’ouverture
Mardi 4 octobre, de 16h30 à 18h30
Jeudi 6 octobre, de 12h à 14h
Jeudi 6 octobre, de 16h30 à 18h30
Vendredi 7 octobre, de 16h30 à 18h30
Copyright : Netflix
Parce que de nombreuses familles n’ont pas la possibilité de partir en vacances, la Ville a souhaité, en lien avec les nombreux partenaires locaux, animer son territoire tout au long des mois de juillet et d’août. Les rendez-vous, nombreux, émaillent l’ensemble de la ville : des places aux piscines, en passant par les parcs, les maisons de quartiers, les bords de Seine. En solo, en duo, entre amis ou en famille, la programmation est ouverte à tous et à toutes.
Le début de la saison estivale sera marqué par un événement incontournable et populaire, la Fête nationale, son défilé et son grand bal le 13 juillet et son feu d’artifice au parc de la Dame du Lac le 14 juillet. Parmi les incontournables de l’été, les soirées de cinéma en plein air seront l’occasion de partager un temps de féérie, ouvert à toute la famille, au coeur de la ville. Très attendues, elles auront lieu les 7, 22 et 26 juillet dans des parcs. Les « Terrasses d’été » des dix maisons de quartier – centres sociaux animeront les places et les parcs tout au long de l’été, avec au programme des spectacles, des repas, des ateliers sportifs et créatifs, notamment.
Les jeunes et moins jeunes pourront se frotter aux célèbres et impressionnants parcours sportifs de Ninja Warriors installés place des Droits de l’Homme et du Citoyen les 9, 10 et 11 juillet, avec une nocturne le samedi. Dans les parcs, des séances de randonnée, de marche nordique, de circuit training et de stretching permettront à tous et à toutes de garder la forme. L’été sera aussi l’occasion de découvrir et de s’essayer gratuitement à l’escrime, au tennis, à l’art du déplacement, à la natation, au volley, au softball. Animées par des associations et clubs locaux, ces initiations ont aussi pour objectif de promouvoir l’offre sportive proposée tout au long de l’année. Enfin, les deux piscines que compte la ville seront ouvertes tout l’été pour permettre à tous et à toutes de profiter d’un îlot de fraicheur lors des chaudes journées d’été.
Profiter d’une expo en bords de Seine ou de concerts en plein air avec le théâtre de l’Agora-scène nationale de l’Essonne, découvrir les nouvelles tendances de l’architecture avec Bellastock, se laisser guider par l’Office de tourisme dans les lieux insolites et remarquables, écouter des contes enchantés ou des mélopées de la harpe luth dans un parc… autant de propositions à goûter tout long de l’été. Dans leurs locaux, les Réseaux d’Échanges Réciproques de Savoirs proposent des ateliers d’art plastique, des jeux collectifs extérieurs, des temps d’échanges. Pour le clôturer en beauté, les 24 et 25 août, les jeunes férus de vidéos sont invités à participer aux ateliers de cinéma Filme l’Avenir, accompagnés par des réalisatrices et réalisateurs professionnels.
Le Pôle seniors, le Club Détente et Loisirs et l’Union des Retraités se mobilisent pour permettre à nos aînés de profiter de temps conviviaux : ateliers créatifs et jeux collectifs, sorties, repas thématiques, promenades… De leur côté, les maisons de quartier – centres sociaux ont programmé un large éventail d’activités pour les jeunes et les familles. Ailleurs, les maîtres et leurs chiens pourront participer gratuitement à des séances d’une heure de coaching pour s’initier à l’éducation canine positive.
Consciente que les vacances restent un privilège pour de nombreuses familles, la Ville propose, pour tous et à petits prix, de voir du pays à l’occasion des dimanches à la mer, de visites du patrimoine dans la région ou de sorties en bases et en parcs de loisirs.
Tous les événements sont à découvrir sur votre agenda en ligne.
Les 10 maisons de quartier-centres sociaux de la Ville proposent aux familles et aux jeunes un éventail de sorties, d’activités sportives, bien-être, culturelles, ludiques, créatives et festives hors-les-murs, dans les parcs et sur les places, mais aussi au sein de leur structure. Cliquez ici pour découvrir l’ensemble de la programmation estivale de vos équipements de proximité.
Retrouvez la publication Spécial été 2022 en cliquant ici.
Le collectif Convergence(s) réunit des habitants, des associations et des acteurs locaux, dont les Maisons de quartier – Centres sociaux, des quartiers du Bois Sauvage et des Pyramides. Il se met en place pour porter des projet collectifs afin d’accompagner la mise en oeuvre du nouveau Programme de renouvellement urbain (Anru), dont le périmètre s’étend désormais aux deux quartiers. L’un des objectifs du Programme est d’établir davantage de connexions entre les deux quartiers et de les ouvrir sur le reste de la ville.
Avec Convergence(s), l’objectif est de permettre aux habitants de participer aux transformations urbaines, dans le respect de l’histoire de leur quartier et en se projetant collectivement vers l’avenir. Des premiers projets ont vu le jour, comme la réalisation de fresques collectives dans les espaces publics. Une collecte de témoignages, de photos et de vidéos est également lancée auprès des habitants. Ces supports serviront pour valoriser la mémoire des quartiers et mener des actions citoyennes de proximité.
Stands des partenaires et acteurs associatifs : venez découvrir et participer aux projets autour de la mémoire et du devenir des quartiers Pyramides et Bois Sauvage.
Animations pour les enfants et les familles : châteaux gonflables, pétanque, tennis de table, double dutch et autres jeux en plein-air.
Sessions d’artistes locaux avec le Bunker : Sonzy, Secteur P, Allen, et d’autres surprises.
Création de deux oeuvres monumentales et collectives sur le thème du quartier rêvé. Rendez-vous à 14h au Village du collectif Convergence(s).
Un souvenir, témoignage, souhait pour votre quartier ? Accrochez votre carte sur une branche de l’arbre mémoriel.
Diffusion d’archives des quartiers & collecte de témoignages.
Projections de fictions et courts-métrage par Culture 360 et BKE.
Rando en trottinettes électriques à la découverte d’oeuvres de street art, par l’association Préfi gurations et la société Pony. Départs toutes les heures à partir de 14h30
Par les associations locales et les collectifs jeunes Bois Sauvage et Pyramides
Tournoi fair-play et performances organisés par la Ville, l’AJA et OSER. Rendez-vous à 11h aux gymnases.
Animations de cirque au terrain de rugby.
De nombreux sports à découvrir et pratiquer en bas de chez vous ! Rendez-vous dès 10h30.
Les droits en faveur de l’émancipation des femmes ont certes gagné du terrain mais il reste encore fort à faire. Égalité des salaires, participation à la vie politique et économique, lutte contre les discriminations, les violences conjugales et le harcèlement… Trop de femmes sont encore confrontées à la violence des hommes et à l’injustice dans toutes les sphères de notre société.
La Ville et ses partenaires en sont bien conscients et se mobilisent pour faire avancer la réflexion collective sur le sujet. Ateliers, spectacles, débats, expositions, tournois de football… tout est bon pour mettre la question des droits des femmes sur le devant de la scène.
Au programme :
– Exposition sur des femmes qui ont marqué l’histoire et des femmes d’aujourd’hui
– Collecte de produits hygiène et maquillages
– Atelier bien-être, fiches tuto, conseils maquillage, prendre soin de soi à moindre coût…
Hôtel de Ville – Guichet Solidarité – Rez-de-chaussée – Place des Droits de l’Homme et du Citoyen
Gratuit
Organisés par les agents de la direction de la cohésion sociale
Contact : 01 60 91 60 58 / 06 22 07 54 25 et à amandine.bauzon@evrycourcouronnes.fr
– Exposition « Portraits de Femmes » – En partenariat avec l’association RELIEF
– Atelier d’arts plastiques « Apprendre à réaliser un portrait ou son autoportrait » animé par Diénaba Cissé.
12 places – Gratuit
Maison de quartier – centre social des Épinettes – Place de la Commune
Tél. : 01 60 79 42 46 / 01 69 91 20 33
Projection/Débat du film « Ouistreham » d’Emmanuel Carrère
Marianne Winckler, écrivaine reconnue, entreprend un livre sur le travail précaire. Elle s’installe près de Caen et, sans révéler son identité, rejoint une équipe de femmes de ménage. Confrontée à la fragilité économique et à l’invisibilité sociale, elle découvre aussi l’entraide et la solidarité qui unissent ces travailleuses de l’ombre.
Cinéma CGR de l’Agora – 2 Boulevard de l’Europe
Organisé par La Maison du monde
Tarifs : 7,5 €
Pass vaccinal obligatoire
Contact : contact@maisondumonde.org
Tél. : 01 60 86 67 07
Micro-Folie – Centre commercial Évry 2 – 2 boulevard de l’Europe
Gratuit
Contact : 06 69 36 51 02 et à reservationmicrofolie@evrycourcouronnes.fr
Salle Decauville – Ferme du Bois Briard – rue du Bois Briard
Gratuit sur réservation / Pass vaccinal obligatoire
Contact : 01 69 36 66 29 et à culture2@evrycourcouronnes.fr
Tarif : 1€/personne
Maison de quartier – centre social des Aunettes – 25 rue de l’École
Tél. : 01 60 79 42 46 / 01 69 91 20 33
En partenariat avec le CIDFF.
Gratuit
Maison de quartier – centre social des Épinettes – Place de la Commune
Tél. : 01 60 79 42 46 / 01 69 91 20 33
Par la Compagnie Quartet Buccal.
Gratuit
Maison de quartier – centre social des Épinettes – Place de la Commune
Tél. : 01 60 79 42 46 / 01 69 91 20 33
MJC Simone Signoret – Place Guy Briantais
Tarif : 8 € / Pass vaccinal obligatoire pour les plus de 16 ans
Organisé par l’Association des Familles de Courcouronnes en partenariat avec l’Association des familles de Villabé et la Compagnie Coin de Rue.
Contact : à secretariat@familles-courcouronnes.fr et au 09 83 92 07 47
10h – 12h30 : Tournoi de Football féminin / Tournoi « La lucarne mobile »
12h45 – 14h : Buvette et repas partagé / Débat échange sur « Le cancer du col de l’utérus »
14h – 17h30 : Ateliers (sur réservation) Initiation au modelage bien-être / soin du visage / masterclasse maquillage
Tournois au gymnase Bonaparte – 206 rue Bonaparte
Buvette, débats et ateliers à la maison de quartier Jacques Prévert – 404 square Jacques Prévert
Gratuit / Pass vaccinal obligatoire pour les plus de 16 ans
Organisé par L’association « Évry Femmes d’Espoir ».
Contact : evryfemmesdespoir@gmail.com et au 06 95 52 18 44 / 07 69 52 11 71
Animée par Sabrina Siboni.
Tarif : 1€/personne
Maison de quartier – centre social des Aunettes – 25 rue de l’École
Tél. : 01 60 79 42 46 / 01 69 91 20 33
Initiation à la Self Défense – En partenariat avec la Police municipale
Gratuit
Maison de quartier – centre social des Épinettes – Place de la Commune
Tél. : 01 60 79 42 46 / 01 69 91 20 33
En partenariat avec l’association Graine d’Eveil, Dreey Style, l’Atelier Santé Ville, Laurie Decrolière, nutritionniste et la Ligue contre le Cancer
– Fabrication de soins du visage (produits naturels)
– Henné
– Coiffure
– Maquillage (make-up flash)
– Conseil en image
– Atelier nutrition
– Atelier de sensibilisation (cancer du sein et col de l’utérus)
Gratuit
Maison de quartier – centre social des Aunettes – 25 rue de l’École
Tél. : 01 60 79 42 46 / 01 69 91 20 33
Gratuit
Maison de quartier – centre social des Aunettes – 25 rue de l’École
Tél. : 01 60 79 42 46 / 01 69 91 20 33
Par la Compagnie « Pas sages à l’acte ». C’est l’histoire, tout d’abord très simple et très riante, d’une troupe de théâtre amateur uniquement composée de femmes. Alors qu’elles sont à la recherche du texte de leur future pièce, elles apprennent la fermeture prochaine de leur vieux théâtre dans lequel elles répètent et jouent depuis longtemps. A l’idée de perdre leur seule part de joie et de liberté, elles vont entrer en lutte pour s’opposer à la démolition de leur espace de rêve.
PIÈCE ADAPTÉE ET MISE EN SCÈNE PAR ROGER Z. JOUÉE PAR : ANNIE l, CRISTINA M. IMANE B. LOUIZA B. MARIE ANGE H. MARIE THÉRÈSE P. PIERRETTE G. ALAIN T ET YOUSSEF M.
Gratuit
Maison de quartier – centre social des Épinettes – Place de la Commune
Tél. : 01 60 79 42 46 / 01 69 91 20 33
Il y a 50 ans, en 1971 dans le tout récent département de l’Essonne, le président de la République Georges Pompidou foulait les terres de la ville nouvelle pour inaugurer la cite administrative, regroupant la Préfecture, le Conseil départemental et le Palais de justice.
Ce jeudi 18 novembre 2021 marquait donc le cinquantenaire de la création de cet édifice. Aujourd’hui, le Boulevard de France détient la double dénomination “Boulevard de France – Georges Pompidou”. L’ensemble architectural a été également labellisé « Architecture Contemporaine Remarquable » et fait dorénavant partie de la quinzaine de bâtiments d’Évry-Courcouronnes qui ont reçu ce label du ministère de la Culture, démontrant de ce fait toute la richesse de la ville.
Retour en images sur cet évènement ici : https://bit.ly/3FvSF3l