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Sortie cinéma « Quand tu seras grand »

Le Pôle Seniors vous propose d’aller voir au cinéma le film Quand tu seras grand, la nouvelle comédie dramatique d’Andréa Bescond et Éric Métayer (réalisateurs de Les Chatouilles), le jeudi 4 mai au soir.

Résumé du film :

Dans le quotidien d’un EHPAD, la vie du personnel se mêle à celle des résidents. La pression est permanente, entre les restrictions budgétaires et le manque de personnel, l’accompagnement humain est de plus en plus difficile. Yannick, aide-soignant, se voit en plus imposer une classe d’enfants par le directeur de cette maison de retraite. Leur arrivée ainsi que celle de son animatrice, Aude, vont bousculer les habitudes de tous et surtout des résidents…

Projection du film « Talion »

L’association Yakaar vous convie à la projection de son film « Talion » le samedi 18 mars, à partir de 20h, à la Salle des Quatres Vents. La diffusion de ce film lui permettra de récolter des fonds pour financer ses actions sur le territoire et à l’international.

Yakaar est une association humanitaire à but non lucratif créée en 2023 par des jeunes originaires du quartier des Pyramides, à Évry-Courcouronnes. Elle établit les démarches nécessaires, pour bénéficier de subventions, mener des maraudes, effectuer des distributions alimentaires à l’échelle locale et internationale. L’objectif au cours de cette année est notamment de pouvoir mener deux chantiers solidaires au Sénégal.

Club Agora : prenez part au débat !

Peut-on être une femme dans un métier d’homme ?

Projection du documentaire À Corps perdus (France, 2018) de Magali Chapelan, suivie d’un débat. Synopsis : L’EPS est la seule matière à l’école où le barème de notation est différent pour les filles et les garçons. Sur les bancs de l’université, Zoé, 22 ans, se prépare à devenir professeure de sport. Elle réalise que sa place est centrale pour combattre les inégalités de sexe, qui, souvent, s’apprennent dès l’enfance. Des idéaux qu’elle confronte sur les terrains de sport, construisant son point de vue à partir des corps en action des sportives, baignés dans la sueur des sauts périlleux, placages et mêlées.

 

“Tous programmateurs”

Organisée dans le cadre du dispositif « Tous programmateurs » initié par la Scène nationale de l’Essonne, La Fabrik’, le conseil des jeunes d’Évry-Courcouronnes et l’association Citoyens Agités de Ris-Orangis ont eu carte blanche pour composer une soirée ciné-débat. En partenariat avec l’Association Autour du 1er Mai, ils ont choisi pour vous ce documentaire dans le cadre du Club Agora et en partenariat avec la Ville d’Évry-Courcouronnes.

Ciné-Débat « Elévation » à la Micro-Folie

Le samedi 22 octobre, assistez au ciné-débat “Élévation” à la Micro-Folie.

 

Ciné-club Huit femmes de François Ozon

Dans les années cinquante, dans une grande demeure bourgeoise en pleine campagne, les gens sont sur le point de fêter Noël. Mais un drame se produit : le maître de maison est retrouvé assassiné. Le ou plutôt la coupable se cache parmi huit femmes que fréquentait régulièrement la victime. Commence alors une longue journée d’enquête, faite de disputes, de trahisons et de révélations.

Avis critiques (Télérama par Pierre Murat) : «On est à cent lieues du réalisme, de la vraisemblance, du naturel. Ozon joue sur la volupté de l’artifice, quand il lui échappe, précisément, quand l’artifice devient une sorte d’art. Entre kitsch et nostalgie. De la rigueur rigolote (mais il en faut, de la rigueur, pour être rigolo).»

Ciné-club Le mal de pierres de Nicole Garcia

En Provence, dans les années 1950, Gabrielle est une jeune femme qui rêve de connaître la passion amoureuse
et charnelle. Ses parents voient d’un mauvais œil cette ardeur. La croyant folle, ils décident de la marier contre son gré à José, un ouvrier agricole espagnol, qu’ils chargent d’en faire une femme respectable. Pour échapper à l’internement, Gabrielle accepte mais refuse que José la touche. Souffrant de calculs rénaux, elle est alors envoyée en cure thermale. Là, elle rencontre André Sauvage, un soldat revenu malade d’Indochine dont elle s’éprend. Cette fois on ne lui prendra pas ce qu’elle nomme «la chose principale». Gabrielle veut aller au bout de son rêve.

Avis critiques (Femme Actuelle par Valérie Beck) : «Marion Cotillard est lumineuse dans ce rôle bovarien d’une femme libre et insatisfaite en quête de passion.
Une fresque romanesque et vibrante d’une grande beauté.»

Ciné-club Marie Jo et ses deux amours de Robert Guédiguian

Marie-Jo aime profondément son mari Daniel ainsi que son amant Marco… Mais elle ne peut les vivre simultanément. Elle ira même jusqu’à provoquer la destruction de ce fragile équilibre, avec une fin inéluctable et tragique.

Avis critiques (Le Parisien par Pierre Vavasseur) : «Il y a longtemps qu’un cinéaste français n’était pas allé aussi loin, et d’une manière aussi juste, dans les profondeurs des sentiments.»

Ciné-club Le bonheur d’Agnès Varda

Un menuisier vit heureux avec sa femme couturière et leurs deux enfants dans le cadre champêtre de Fontenay-aux- Roses. Un jour, il fait la connaissance d’une postière de Vincennes et en tombe éperdument amoureux… D’une banale situation d’adultère qui aurait pu donner lieu à un drame social naturaliste, Agnès Varda choisit d’en proposer une vision hédoniste à la morale ambiguë et à l’esthétique parfois abstraite. Toute l’ironie du film est qu’il est placé sous l’égide du « bonheur », mais un bonheur défait des carcans sociaux et des interdits.

Avis critiques (Les Inrockuptibles par Serge Kaganski ) : «Premier long-métrage de Varda dans lequel celle-ci fait usage de la couleur. Cet aspect neuf de son cinéma enroule une magnificence visuelle inédite à la noirceur de ce splendide drame.»

Ciné-club Potiche de François Ozon

En 1977, dans une province de la bourgeoisie française, Suzanne Pujol est l’épouse popote et soumise d’un riche industriel Robert Pujol. Il dirige son usine de parapluies d’une main de fer et s’avère aussi désagréable et despote avec ses ouvriers qu’avec ses enfants et sa femme, qu’il prend pour une potiche. À la suite d’une grève et d’une séquestration de son mari, Suzanne se retrouve à la direction de l’usine et se révèle à la surprise générale une femme de tête et d’action. Mais lorsque Robert rentre d’une cure de repos en pleine forme, tout se complique.

Avis critiques (Metro par Rania Hoballah) : «Comédie réjouissante emmenée par une Catherine Deneuve hilarante en quiche des années 1970. Ne pas passer à côté.»

Ciné-club Un beau dimanche de Nicole Garcia

Baptiste est un solitaire. Instituteur dans le sud de la France, il ne reste jamais plus d’un trimestre dans le même poste.
À la veille d’un week-end, il hérite malgré lui de Mathias, un de ses élèves, oublié à la sortie de l’école par un père négligent. Mathias emmène Baptiste jusqu’à sa mère, Sandra. C’est une belle femme, qui après pas mal d’aventures, travaille sur une plage près de Montpellier. En une journée un charme opère entre eux trois, comme l’ébauche d’une famille pour ceux qui n’en ont pas. …

Avis critiques (TéléCinéObs par Elisabeth Rouchy) :

«Épurée mais généreuse, sa mise en scène renoue avec
le souffle simple et délicat de ses premiers longs-métrages, «Un week-end sur deux» et «Le Fils préféré». La révélation du film reste Pierre Rochefort, son fils : il y est bouleversant.»